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 Je déteste les dimanche matins. [PV Sherlock]

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Sebastian Moran
Sebastian Moran
MessageSujet: Je déteste les dimanche matins. [PV Sherlock]   Je déteste les dimanche matins. [PV Sherlock] EmptySam 18 Avr - 22:22





Je déteste les dimanche matins.
Sebby & Sherlock.

Je déteste les dimanche matins. [PV Sherlock] Giphy

Le réveil de Sebastian sonnait depuis déjà sept minutes dans une petite chambre dans un coin perdu de Londres. Pourtant, le locataire de celle-ci ne semblait pas décidé à bouger. Et pour cause. La veille, enfin, ce matin là, il s'était couché à quatre heures. Un client mécontent qui l'avait repéré sur un toit, et qui l'avait vendu à la police. Lorsque la police avait débarqué, encerclant son immeuble, il avait appelé Jim à la rescousse, mais le criminel n'avait même pas daigné répondre. Salopard. Course-poursuite, Sebastian qui saute du haut de l'immeuble et qui atterrit dans des sacs poubelles. Mal à la cheville. Mal au dos. Course, course, course. Puis il était ENFIN rentrée. Le temps qu'il mange et prenne une douche, il était quatre heures. Le meilleur dans tout ça ? Il était six heures du matin. Et il fallait se lever. Déjà. Six heures et sept minutes, pour être précis. C'était horrible. Il détestait Jim en cet instant et aurait bien démissionné. Sauf que si on démissionne, on signe son arrêt de mort. Sebastian l'avait compris tout de suite après avoir été embauché lorsque Jim lui avait demandé de tuer un agent qui avait déserté.

Agacé, le sniper finit par ouvrir un œil, puis prendre le réveil et l'envoyer voler contre le mur. Il explosa dans un bruit de vaisselle cassée. Ca, c'était fait. Il ne l'embêterait plus au moins. Il laissa sa jambe glisser le long du lit, puis le reste de son corps, emportant ses couvertures avec. Il resta coucher au sol, incapable du moindre mouvement. Il avait mal partout. Salopries de courbatures. En grognant, il finit par se relever. Il se dirigea en grommelant vers la porte. Première erreur, il marcha sur les bouts de verre. Il s'ouvrit la plante du pied droit, dans un grognement. Il passa par au dessus, puis se dirigea vers la salle de bain, semant du sang sur le carrelage derrière lui. Après une rapide toilette, il gagna la cuisine, où une surprise l'attendait. Un mot était posé sur le buffet, scotché contre un vase de fleurs fanées, si bien qu'il su immédiatement de qui elles venaient : Jim.

En soupirant, il détacha le post-it et le lu. "RDV 8h30 à Notting Hill. Entrevue. - JM" Sebastian jura. Une seule journée de repos, c'était vraiment trop demandé ? Enfin, si le criminel avait pris le temps de se déplacer pour accrocher ça ici, c'était que ça devait être important. Il accrocha le bout de papier sur le frigo, puis avala un bol de céréales. Il retourna ensuite dans la salle de bain, s'habilla, puis prit le temps de nettoyer son arme avant de se mettre en route. Il décida de prendre la moto, puisqu'il avait perdu sa voiture toute neuve la veille, et qu'elle était probablement à Scotland Yard désormais. Pauvre voiture. Elle n'avait rien demandé et elle allait probablement être démantelée. Il se sentit désolé pour elle.

Il se rendit donc au lieu du rendez-vous, avec une bonne heure d'avance. Il détestait être en retard de toute manière. Il voulait s'assurer que ce n'était pas un piège. On ne sait jamais avec un criminel. Genre s'il voulait le tester, ou n'importe quoi. Sebastian avait pris soin de prendre son arme, accrochée solidement à sa ceinture. Il était prêt à dégainer. Il décida d'attendre dans un petit parc, en face de la place du rendez-vous. Il avait ainsi une vue dégagée sur les personnes qui passaient. Les minutes passèrent, la rue était totalement vide. Pas un chien à cette heure là. Londres se réveillait à peine. Ils avaient de la chance de pouvoir dormir, eux, surtout un dimanche matin. Ca faisait combien de temps qu'il n'avait pas eu de dimanche lui ? Bien trois semaines non ? Bien sûr, comme un idiot, il n'osait pas demander à Jim, il avait bien trop peur de sa réaction. Mais le criminel consultant ne faisait pas non plus d'effort pour l'aider.

Soudain, il y eut du mouvement. Sebastian devina facilement que ça devait être le fameux client. Il se rappela rapidement les règles principales. Sourire. Etre poli. Ne pas l'effrayer. Il se dirigea vers l'homme, un sourire hypocrite au visage. De toute manière, Jim se lasserait probablement de lui d'ici quelques jours et il serait une cible potentielle. Il aimait cette part du travail. Oui, il l'aimait. Jusqu'à ce qu'il voit le client. Ses poings se compressèrent, alors qu'il sentit la colère grimper doucement en lui. Jim n'avait quand même pas osé lui faire ça à lui ? Il chercha une caméra aux alentours, il devait regarder le salaud. Il avait tout planifié et lui s'était fait avoir comme un idiot débutant. Il resta calme, puis souffla un coup. Jim voulait jouer ? Et bien Sebastian allait lui donner de quoi se divertir.

"Bonjour Holmes."

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Sherlock Holmes
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MessageSujet: Re: Je déteste les dimanche matins. [PV Sherlock]   Je déteste les dimanche matins. [PV Sherlock] EmptySam 25 Avr - 16:44




Ses doigts tracent de profonds sillons contre ses tempes, une migraine horripilante pointe.
Il la combat sans délicatesse, délocalise l'information, n'admet pas cette gêne.
Anesthésier le bourdonnement serait si simple si sa source n'était pas à ce point intarissable : Anderson et les accords désespérément prévisibles de sa pensée usent sa patience – un véritable échéancier de trivialités, de la plus fade à la plus sombre.
Sherlock grimace pour exposer à la face du monde son exaspération rebutée. Visiblement l'agent n'est même pas assez réactif pour relever un non-sens de degré critique – pointé du doigt qui plus est. Alors, Holmes sort de son mutisme avec une violence amortie par un demi-tour sur lui-même, mains s'ouvrant vers le plafond pour embrocher l'évidence avec humeur. Sa voix est d'un mordant n'acceptant plus la contrariété.
Personne ne vous a donc appris à ranger vos "déductions" derrière ce que l'on appelle il se fait condescendant, hache chaque syllabe avec la lenteur que l'on destine à un enfant. la logique élémentaire ?
Ses mots s’accélèrent et reprennent une cadence qui ne désire pas être suivie, qui écrase.
Pitié. Ses traits se déforment sous l'effet d'une lassitude dédaigneuse. Gardez votre soif de sensationnalisme pour vos petites le mot est accentué soirées entre amis. Parenthèse brutale et gratuite qui fige le temps sur Anderson. Focus. La dernière date d'ailleurs d'hier soir. Cernes creusées, difficulté du poignet droit à effectuer une rotation : prise de notes saccadée sur longue durée. Vous avez de l'encre sous les ongles, des démêlés avec votre imprimante ? Et cette odeur caractéristique de friture qui imprègne vos vêtements montre que vous ne touchez pas assez pour offrir mieux qu'un fast-food à vos invités. Vous avez encore les deux pieds dans votre club de lecture bon marché et vous abaissez le degré de pertinence de cette enquête à zéro. Holmes se détourne avec la violence du désintérêt. Coup porté, résistance non-négociable. Ses yeux auscultent la pièce en profitant du silence piteux de l'officier. Il encode chaque détail en lui attribuant une série d'images liées, des passerelles. Il en raye certaines d'un froncement de sourcil contrarié. Les traits du schéma qui s'esquissent sont grossiers et la perte de temps occasionnée lui fait hausser le ton. D'ailleurs, vous appelez ça une enquête ? Les lèvres du détective s'ourlent d'un sourire de sarcasme. Une démonstration d'amateurisme. C'est évident. L'évidence même. Il ne s'agit pas d'une disparition et encore moins d'un meurtre. Sherlock tranche le raisonnement commun sans daigner cautériser à renfort d'explications : illustrer sa pensée ne ferait que le ralentir. Immobilisation. Comme si l'idée venait de le heurter, Sherlock se rue sur le manteau de la victime présumée. Il inspire l'odeur de cette pièce à conviction ne devant être touchée - les formalités le désintéressent, elles ne feront pas obstacle à sa résolution en floraison. La victoire est presque palpable, le vêtement tombe sans considération au sol et il l'enjambe d'un pas pressé pour se diriger vers la penderie de Mrs Paddinson qu'il ouvre à la volée. Examen, confirmation, détachement. Le tissus est envoyé au sol après lecture, gestes saccadés, fibres passées au crible. Derrière le détective un amoncellement de preuves contaminées - Anderson est statufié sur place. Forfait accompli, le détective daigne enfin sortir la tête du placard malmené. Satisfaction d'un enfant qui démantèle ce qui ne l'amuse plus. Deux fragrances distinctes sont facilement reconnaissables sur les affaires de Mrs Paddinson ; ses toilettes les plus coûteuses sont imprégnées du no5 de Chanel, les autres d'un parfum qui réclame sensiblement moins l'attention. Un article sur la reconnaissance des parfums est en ligne sur mon blog, référez vous y. L'homme juge ouvertement la banalité de la victime prétendue, de sa conduite mondaine et ridiculement balisée, ses yeux monteraient presque au ciel. C'est une mécanique bien huilée : aucune tenue ne fait exception à cette règle et pourtant le seul flacon retrouvé est l'Opium laissé à l'abandon sur sa coiffeuse. Le reste s'est volatilisé, n'est-ce pas étrange ? Même pour vous cela devrait l'être. Elle n'aurait pas dérogé à ses habitudes d'achat, c'est un cadeau - à peine utilisé : en date d'aujourd'hui. Jour qui coïncide avec sa disparition. Toujours pas sur la voie ? Agacement optimal, grognement accusateur. Le détective bute sur l'incapacité de son interlocuteur à le suivre, ce n'est pas assez fluide alors il poursuit sans lui. Mrs Paddinson a des habitudes très marquées en matière de rangement, sa penderie suit un pattern évident, répétitif, mais l'ensemble est incomplet. Il manque des pièces. Holmes se soustrait une nouvelle fois à la compréhension de son auditoire, fuse sur la corbeille d'un seul mouvement : il la renverse au sol, disperse les papiers selon un arc de cercle le prenant comme centre et en extrait une note avec victoire. Une facture stipulant l'achat d'une robe de soie bleue, cherchez. Vous ne la trouverez pas. Votre disparue est partie d'elle-même - certainement avec son amant. Je ne prends pas ce type d'affaires. Holmes quitte la pièce en laissant le bout de papier dans les mains d'un Anderson hébété : il rabat les pans de son manteau avec frustration en s'engouffrant dehors. Perte de temps. Ennui.

Holmes n'a pas le temps de consommer son manque, comme une réponse son portable vibre. RDV 8h30 à Notting Hill. Entrevue. - JM
Le regard de l'homme sonde les lettres du message une à une, son intérêt monte en flèche parallèlement. Il n'avait peut-être pas complètement perdu sa matinée. Le détective hèle un taxi sans attendre - il a besoin de mieux. Un besoin impérieux, brûlant, un combustible pour embraser son excitation, vite.
C'est un toxicomane. Esclave de son esprit en ébullition : il s'effondre lourdement dans le cab, mains liées sous le menton - coupé du monde extérieur et de ses conventions.
Le détective arrive sur les lieux avec quelques minutes de retard - il était trop loin, il maudit Scotland Yard pour l'éloigner de cet ennemi monstrueusement intéressant.
Sur place, aucune trace du criminel consultant et Sherlock ressent une distincte irritation - il y a pourtant des règles tacites, inviolables, dans leur jeu.
Holmes glisse ses mains dans les poches de sa veste : il ressent une présence derrière lui, stationnaire et rigide. Il jette un vague coup d’œil arrière : homme d'environ 1m85, stature carrée, droite et fermement implantée sur ses appuis. Posture de repos typique pour un militaire - ancien militaire à en juger par l'arme qu'il devine à sa ceinture : fin bruit de claquement contre la jambe lorsqu'il s'avance de lui. L'équation n'est pas dure à résoudre, son interlocuteur en devenir répond parfaitement à la description faite de l'homme de main emboîtant les pas de sa Némésis. Sherlock n'apprécie pas la situation, la déception est déjà mordante face à l'inintérêt d'un homme de main. Moriarty devait certainement apprécier cette comédie ridicule et l'observer à distance - riant à ses dépends. Le détective ne prend même pas la peine de se retourner vers l'homme pour accueillir sa présence et cela malgré le danger qu'il incarne - qui ne le fait pas même ciller.
Moran, c'est ça ? Vous devez être excessivement fidèle à Jim pour vous prêter à cette vaste farce - à moins que vous ne soyez complètement utilisé ? Il daigne finalement se retourner, mains toujours enfouies dans ses poches avec une nonchalence ennuyée. Il attaque déjà, peu disposé à en faire autrement. Le terme excessivement est moqueur à souhait.

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Sebastian Moran
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MessageSujet: Re: Je déteste les dimanche matins. [PV Sherlock]   Je déteste les dimanche matins. [PV Sherlock] EmptyLun 27 Avr - 21:06





Je déteste les dimanche matins.
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Sebastian n'en revenait toujours pas. Comment Jim avait pu lui faire ça à lui ? Il pouvait pas envoyer un de ces abrutis de snipers inutiles à sa place ? ... A moins qu'il ne le considère comme un abruti de sniper inutile. C'était très vexant pour le coup. Il devait le savoir pourtant maintenant. Sebastian Moran ne pouvait pas piffrer ce demi-détective plus de trois secondes. Déjà lors de la scène de la piscine, ses mains tremblaient tellement que lorsqu'il a retourné la situation contre Jim, il était à deux doigt de lui tirer entre les deux yeux. Il y aurait eu un joli bruit et puis un trou parfait, entre les deux yeux, et ensuite le sang qui coule tout autour de sa tête. C'était la seule chose qu'il voulait actuellement. Refaire le portrait de ce minable petit détective pour qui Jim avait tellement d'admiration.

Sherlock sembla déçu de le voir. Forcément. S'il avait reçu le même message que lui, il y avait de quoi. C'était triste à dire, mais personne ne s'intéressait vraiment à Sebastian. Enfin si, les snipers de Jim qui lui obéissait sous peine de malencontreusement disparaître un matin. Les seuls face à qui Sebastian estimait avoir du pouvoir. Diriger ces gosses, ça lui rappelait son travail de colonel à l'armée, ce travail qu'il avait été contraint de quitter. S'il avait su ce qui l'attendait quand il rentrerait à Londres, il serait volontiers resté là bas. Tiens, son père habitait-il encore dans le coin ? Il n'avait pas encore réfléchi à ça, ça devait faire pourtant bien trois ou quatre ans qu'il était revenu. Encore quelque chose à ajouter à sa Bucket List. "Retrouver Papa et ne pas le dire à Jim sinon Jim va le buter." Encore faudrait-il que Jim ne tombe pas sur sa Bucket List, ce qui était loin d'être gagné. Pour le moment, il ne l'avait pas encore fait, sinon, il lui aurait déjà reproché le "Embrasser Jim" et "Coucher avec Jim". Que voulez-vous, c'est beau de rêver, même quand on sait qu'on a aucune chance. En plus, Sebastian ne se souvenait même plus de quand il avait mis ça. Il devait être bourré sans doute.

Sebastian ne savait pas ce que Sherlock était en train de penser. En revanche, il y eut quelque chose qui ne passa pas du tout.

- Moran, c'est ça ? Vous devez être excessivement fidèle à Jim pour vous prêter à cette vaste farce - à moins que vous ne soyez complètement utilisé ?

Le "excessivement" volontairement moqueur lui hérissa le poil. Il serra ses poings tellement fort que ses mains se mirent à trembler. Ne pas le tuer. Ne pas le tuer. Ne pas le tuer. Il ne pouvait que se dire ça en boucle dans la tête. Si l'autre ouvrait la bouche encore une fois, il perdrait définitivement tout contrôle. Pour qui il se prenait ce petit abruti ? C'était comme si le sniper n'arrivait pas à agir par lui-même, à penser par lui-même. Il avait envie de lui hurler qu'il était capable d'agir par lui-même, qu'il n'avait pas besoin de Jim derrière pour lui dicter sa conduite.

Ce fut pourtant le poing qui partit le premier. Il s'encastra dans la joue gauche de Sherlock. C'était un geste automatique, il ne l'avait même pas contrôlé. D'habitude, il s'en aurait immédiatement voulu, là... Là ça lui fit plus de bien qu'autre chose. Si Jim voyait ça, il devait être en train de se bouffer les doigts. Il aurait pas l'air stupide le criminel si sa cible principale crevait là tout de suite, sous ses mains. Il ne fallait pas oublier que le colonel avait de l'expérience, qu'il avait battu un tigre à mains nues et que par conséquent, ça pouvait faire très mal. Surtout que le brun était plutôt dans la catégorie "Poids plume", alors que Moran c'était plutôt "Armoire à glace". Il pouvait le briser en deux, comme une brindille. Il ne savait pas vraiment ce qui l'en empêchait d'ailleurs.

"Si ce n'est qu'une vaste face, comme vous dites, qu'est-ce que vous foutez là ? Le grand Sherlock Holmes a pas flairé l'arnaque ? Vous me décevez, je croyais que vous étiez un professionnel."

Sebastian avait volontairement employé un ton sarcastique, juste pour l'énerver un tout petit peu. S'il croyait pouvoir impressionner le criminel avec ses grands airs et ces salopries de déductions, il pouvait toujours se mettre le doigt dans l'oeil. C'était lui qui dominait, et pas l'inverse. Parfois, c'était bon de rappeler qu'on pouvait avoir l'intelligence, mais que face à la force, cette dernière ne valait pas grand chose. Quel dommage.

"Allez-y. Relevez-vous et frappez-moi. Entrez dans le jeu de Jim, il en sera ravi. Mais avant tout, une petite chose."

Il sortit son arme et la pointa sur son visage.

"Il va falloir avoir de bons arguments pour pas que je vous tue là tout de suite."

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