[Terminé] Est-ce que t'as seulement réfléchi avant de me suivre ? [PV Lizzy]

Est-ce que t'as seulement réfléchi avant de me suivre ?
Sebby & Lizzie

[Terminé] Est-ce que t'as seulement réfléchi avant de me suivre ? [PV Lizzy] Tumblr_mt4edv2WsB1s8d8n0o2_250

Sebastian arpentait les rues de Londres tel le tigre à la recherche d'une proie. Il était en mission aujourd'hui. Il avait trouvé un papier sur son bureau ce matin, avec une adresse, une photo et un "A tuer" écrit à la va vite au style, probablement par Jim trop occupé à préparer autre chose. C'était toujours à lui qu'il confiait les tâches ingrates. Bon, d'accord, c'était son boulot en même temps, mais aujourd'hui, il était censé être au repos, en train de remplir de la paperasse et pas courir d'un bout à l'autre de la capitale anglaise, son arme en kit dans le sac, et sous la pluie s'il vous plaît. De toute manière, avec le criminel, un jour sans rien à faire n'existait visiblement pas.

Arrivé à l'adresse indiquée, le sniper chercha un endroit en hauteur, dégagé, qui lui permettrait de remplir sa tâche en toute tranquillité. Et si possible couvert. La pluie commençait réellement à l'irriter, et il se porterait comme un charme une fois au sec. Il repéra alors un immeuble assez haut qui pourrait faire l'affaire. Il allait devoir tirer de plus loin, une fois sur le toit, mais ce n'était pas un problème pour lui. Il pénétra dans le bâtiment et commença à gravir les étages. Pas d’ascenseur. Bien sûr. Pourquoi mettre un ascenseur dans un immeuble de neuf étages ? Arrivé en haut, Sebastian avait chaud, il respirait fort et il était essoufflé. Il se jura de demander à Jim d'installer un ascenseur dans cet immeuble quand il rentrerait. Ne serait-ce que pour se faciliter la vie. Il crocheta la serrure de la porte menant au toit, et se dirigea vers le bord. C'était parfait. Enfin... Parfait, s'il n'y avait pas cette satané pluie qui continuait à lui rendre la vie dure et à ne pas l'aider pour un sou.

Il posa son sac en toile noire sur le sol, et commença à monter son fusil, morceau par morceau. Sebastian adorait cette partie. Il avait l'impression de jouer au Tetris, en emboîtant chaque morceau convenablement. Une fois le tout terminé, il plaça l'arme sur son pied et se plaça derrière le viseur, à la recherche de sa victime. Il n'y avait encore personne dans la rue, Sebastian sentait déjà que ça allait être long. Mais il restait calme.

Puis la porte s'ouvrit dans un vacarme du tonnerre. Sebastian sauta sur ses jambes, surpris, puis dégaina son pistolet de poche, celui qui ne le quittait jamais. Une femme venait d'apparaître, et Sebastian la regardait, méfiant, arme pointée dans sa direction.

"Qu'est-ce que vous voulez ?"

•••

Me voila a nouveau sur la trace des sbires de Moriarty, je ne sais toujours pas pourquoi je suis a fond comme ça sur la toile mais bon, en même temps je fait pour aider Sherlock mais aussi pour avoir des infos croustillante pour le journal. Et encore une fois j'avais mis des talons, a chaque fois que j'en met je me plante quand il ne faut pas, en même temps j'aime pas les baskets donc bon, je rendrais visite a mes informateurs SDF non loin du centre ville, quand soudain, je remarquais un homme qui d'après mes sources était une sorte de bras droit de se cher Moriarty. Je le suis alors de loin histoire de ne pas être repérer, tout allait bien pour le moment, ensuite il entre dans un immeuble et monte par les escaliers ni vu ni connu, je pris le soin de retirer mes talons histoire de ne pas faire de bruits dans les escaliers tout en le suivant silencieusement jusqu'en au vers le toit. Il referma bien sure la porte derrière lui, je remet donc mes talons et prépare l'appareil photo mais je me tien à la poigne de la porte et évidement celle ci s'ouvre et je tombe dans un vacarme de tout les diables. Niveau discrétion je repasserais encore une fois, je suis donc par terre et redresse le menton le voyant me mettre en joue avec son pistolet, je pris un ton amuser mais aussi stresser en lui répondant

-"Hum moi ?...heuu je suis heuu comment dire....tomber ? ".

•••

Est-ce que t'as seulement réfléchi avant de me suivre ?
Sebby & Lizzie

Sebastian avait toujours son arme braquée sur l'intrus. C'est une jeune femme blanche, la trentaine il dirait. Pas discrète pour un sous, c'était sûr et certain. Elle était sur le sol, apparemment pas très impressionnée par le monstre qu'elle avait face à lui. Et oui, que voulez-vous, le sniper aimait se donner l'apparence d'un tigre, sauvage, indomptable et totalement imprévisible. Dommage que Jim ne pensait pas la même chose. Il s'approcha d'elle, et lui colla le bout de l'arme sur la tempe, tout en enlevant le cran de sûreté. Il adorait ce petit clic qui faisait très très mélodramatique. Mais que voulez-vous, quand on côtoie un homme comme James Moriarty, on apprend rapidement à jouer la comédie. C'est nécessaire pour survivre dans son monde. La loi de la jungle comme on dit. Il se reconcentra sur sa proie. Oui, le mot proie était approprié. Elle était à sa merci, une arme sur la tempe. Il se sentait réellement tigre à cet instant. Autant profiter de l'avantage. Il prit une voix excessivement grave.

"Je ne me répéterai pas. Qu'est-ce que vous faites sur ce toit ?"

Sebastian recula légèrement, pour refermer la porte qui menait au toit. Il remarqua alors qu'il n'y avait plus de poignée pour rentrer. Tant pis, il se débrouillerait. Au moins, sa proie était totalement coincée désormais. Le sniper lança un rapide coup d’œil vers la rue. Toujours rien. Oui, il n'oubliait pas sa mission principale, après tout. Un sermon de Jim lui avait suffit. Si jamais il commettait une nouvelle gaffe, il était totalement... mort. Oui, c'était le mot. Mort, kaput, décimé. Il ferait de ses organes une corde à sauter. Ou il les accrocherait sur les aiguilles de Big Ben. Allez savoir. Le sniper secoua la tête. Ne pas laisser Jim prendre de l'importance dans son esprit à ce moment, il avait quelqu'un dont il devait s'occuper.

Il trouvait la jeune femme attirante, sans pour autant avoir une attirance sexuelle. C'était une gamine pour lui. Et puis il s'était juré d'arrêter de sauter les femmes depuis qu'il avait rencontré Jim. Il avait presque même l'habitude de dire qu'il était Jimosexuel désormais. Tant qu'il n'aurait pas réussi à mettre son patron dans son lit, il n'arriverait pas à se pencher pleinement dans une relation seine. Mais de quoi il parlait là ? C'était une intruse, elle était probablement en train de le suivre pour avoir des informations sur Jim et la Toile, et lui, il pensait au sexe. Et puis quoi encore ? Elle devait avoir des informations sur lui alors ? Il sourit presque sadiquement. Il allait pouvoir lui faire un peu peur.

"Je suis Sebastian Moran. Le bras droit de Jim. Si vous cherchiez un gros poisson, vous avez réussi votre coup. Dommage que votre parcours se termine sur ce toit."

•••

Devinez quoi, je me retrouve coincer avec un tueur et avec son flingue plaquer sur ma tempe, si j'en avais pas l'habitude je dirait que ce serais mal barrer, il me demanda avec une voix grave, essayant de m'intimider, se que je faisais encore sur se toit. Je n'osais pas bouger c'était normal malgré le fait que le sol ne me convenais pas a cette entrevue tendue, tout en le suivant du regard pour le voir essayer de fermer la porte, qui n'avait malheureusement plus de poignée, oui c'est tout moi ça je casse tout et me plante sans arrêt, je lui répondit comme si la situation ne me faisais pas peur, heuu en fait c'était le cas.

-"Hé bien hum...je vous suivais...je suis...journaliste enfin plus cascadeuse que journaliste mais...ahah c'était marrant hein.."

-Mon humour n'était jamais pris pour se qu'il était habituellement, mais qui ne tente rien n'a rien, cependant, il se présenta avec un regard envieux, comme si je lui plaisais donc je me suis dit que je pouvais jouer sur cela même si ça risquais pas de fonctionner, c'était un sniper quand même, le meilleur en plus, donc le sang froid il l'avais, je le regardais en souriant légèrement.

-"Je sais qui vous êtes monsieur Moran, ça fait un moment que je suis sur vos talons ainsi que ceux de votre patron...dite heuu je peut me lever ? parce que c'est pas confortable comme situation."

-Je tenta alors de me lever lentement et sans geste brusque, toute façon je ne saurais rien faire j'ai toujours pris les cours de self défense à la légère, maintenant je sais que je n'aurais pas du. Une fois debout devant lui je restais la les mains lever pour lui faire comprendre que je n'était pas une menace.

•••

Est-ce que t'as seulement réfléchi avant de me suivre ?
Sebby & Lizzy

Cette petite femelle inconsciente devait probablement avoir un problème d'audition. C'était la seule explication possible. D'habitude, quand il disait son nom, la personne face à lui se faisait soudainement toute petite, voir partait en courant en hurlant au meurtre avant même d'être couché sur le sol, une balle entre les deux yeux. Alors qu'est-ce qui n'allait pas chez celle-là ? Sebastian sourit hypocritement, alors qu'elle lui sortait le plus naturellement du monde qu'elle le suivait depuis un moment. Comment avait-il fait pour ne pas s'en rendre compte ? Il devenait vieux. Pire. Vieux et sourd. D'habitude, il les repérait facilement les suiveurs. Il fit une petite moue boudeuse, pendant quelques secondes, avant de se ressaisir. Il détestait paraître faible. Il ne l'était pas. Mais autre chose, si Jim apprenait qu'il avait été suivi, il allait encore l'engueuler. Comme si c'était de sa faute si cette petite journaliste qui se prenait pour un héros avait décidé de le suivre. Pourquoi était-elle toujours vivante d'ailleurs ? Il avait un couteau. Il pourrait la planter, et la jeter du haut du toit. Avec toutes les marques, ces abrutis de Scotland Yard prendraient ça pour un suicide. Surtout avec la porte fermée et tout ça. Faire des meurtres discrets était une des spécialités de Sebastian, et celle-là ne lui résisterait pas bien longtemps.

Sa proie se releva, les mains en l'air, alors que Sebastian l'avait toujours en joue. Puis un détail revint à l'esprit du sniper. Comment ça elle le suivait lui et Jim ? Est-ce qu'elle était en train de l'utiliser pour arriver à atteindre Jim ? C'était peine perdue. Elle n'atteindrait même pas l'entrée de la base. Le criminel lui collerait lui-même une balle entre les deux yeux, ou la kidnapperait et lui demanderait à lui de la torturer, comme d'habitude. A lui de faire le sale boulot pendant que le patron retournerait tranquillement se remettre de ses émotions avec du champagne hors de prix et du caviar. Sebastian détestait Jim dans ces moments là. Il détestait ses grands airs de prince(sse). Le sniper se reconcentra. Décidément, il avait beaucoup de mal à rester concentré ces derniers temps. Sebastian repéra soudain du mouvement dans la rue. Il repéra sans mal la cible.

Il attendit d'avoir un angle potable, et il tira. Headshot, entre les deux yeux. Il pouvait déjà entendre des cris dans la rue, alors que l'homme s'effondrait comme une mouche. Il l'avait pas vu arriver ça. Au moins, sa mission était remplie, il pouvait désormais se concentrer sur cette stupide journaliste. Il sourit doucement, presque sadiquement.

"Comme vous vous en doutez, je vais être contraint de vous tuer. Vous comprenez ? Vous m'avez vu commettre ce meurtre. Mieux. Vous avez commis ce meurtre, puis vous vous êtes tiré une balle dans la tête au bord du toit, ce qui vous a fait chuté sur les pavés en bas. Quel dommage. Tout le monde va pleurer."

Il avança vers sa victime, gonflant un peu la poitrine, menaçant. Si ça marchait, Jim allait certainement lui offrir une petite prime.

•••

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Je savais maintenant qu'il allait me tuer et qu'il était sérieux, c'était bien ma vaine je me fourrais toujours dans des plans foireux, il faut croire que j'étais destiner à cette vie dangereuse, j'en prenais plaisir sans mentir. Je ne bougeais pas tellement je ne savais pas que faire, alors qu'il s'appliquais a tuer sa cible qui n'importais guerre en se moment, je regardais autour de moi histoire de trouver une échappatoire a cette situation, j'avais remarquer qu'il y avait encore les escaliers de secours, c'était on va dire ma dernière chance d'en sortir vivante. Il revient alors vers moi et m'expliquais qu'il devais me tuer maintenant que sa mission fut accomplie, il me disais même qu'il me ferais porter le chapeau histoire de s'en tirer facilement, je me mis a sourire légèrement avant de lui répondre..

-"C'est un bon plan...mais ça n'arrivera pas !"

-Je vint vite contre lui donnant par instinct de survie un coup de genoux dans les parties, ça a du lui faire mal mais il l'avais bien mériter, ensuite sans demander mon reste et avant qu'il reprenne ses esprits je courut en direction des escaliers de secours, j'enjambais alors le bord du bâtiment histoire d'y accéder et descendit le plus vite possible. Je savais qu'il tenterais de me tirer dessus d'en haut alors pour avoir plus facile je retira mes talons, ce n'était pas une grande perte par rapport a ma vie et je continua ma descente en zigzagant entre les différentes marches métalliques qui me rapprochais de la liberté. Une fois en bas de l'immeuble, je continua ma course jusqu'à l'entré du restaurant Italien ou je connaissais bien le patron, il accepta de me cacher le temps que le sniper abandonner la course, si du moins il me recherchais toujours.

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Sebby & Lizzy

L'adrénaline était en train de monter, comme à chaque fois que Sebastian s'apprêtait à tuer. Mine de rien, il aimait ça. Sentir sa proie mourir sous ses doigts alors qu'il était en train de l'étouffer. Et en plus, rien ne pouvait lui arriver avec la protection de Jim, ce qui l'avait encouragé. A l'armée, il fallait se le dire, tuer était très difficile pour lui, mais depuis qu'il travaillait pour Jim, il le faisait avec une facilité déconcertante. Jim l'avait transformé en monstre, et le pire, c'est que ça lui plaisait. La vie de cette personne dépendait de lui, et il en avait parfaitement conscience. C'était, certes, malsain, mais il appréciait ça.

-"C'est un bon plan...mais ça n'arrivera pas !"

Tiens, c'était nouveau cette réplique. D'habitude, sa proie s’aplatissait sur le sol, se roulait en boule, et se mettait à le supplier misérablement en chouinant. "Non, pitié, me faites pas de mal, je croiserais plus jamais votre chemin". Et blablabla. Et pan. Une balle entre les deux yeux, et c'est réglé. Là, sa proie tentait de rester brave. C'était presque admirable. Et totalement inutile. Sebastian avait compris depuis bien longtemps que le courage était un sentiment stupide visant à exploiter au maximum son espérance de vie. Définition de Jim, bien sûr. Que voulez-vous, c'était un excellent professeur quand il le voulait.

Par contre, s'il y a une chose qu'il n'avait pas vu venir, c'était le fait qu'elle se rebellerait. Elle s'approcha de lui, beaucoup trop vite pour qu'il est le temps de réagir et lui claqua son genou dans l'entrejambe. Sebastian tomba au sol. Ca faisait mal bon sang. Pourquoi les hommes avaient ce petit point faible horriblement douloureux ?! Non. Il ne devait pas le dire à Jim, il dirait "Tu sais Sebby, si ça t'embête tellement, on peut toujours les couper." Il se releva en serrant les dents. Jim ne lui prendra pas ses bijoux de famille sans y laisser les plumes. Sebastian se releva, juste pour voir sa proie disparaître par les escaliers de secours. Et merde.

Sebastian sauta sur son fusil sniper, et la visa. Il tira à un moment, alors qu'elle arrivait en bas, elle tourna à ce moment là. Saleté. Il attrapa son pistolet et décida de la suivre directement. Elle ne lui échapperait pas, il avait vu où est-ce qu'elle avait tourné. Elle allait appeler la police cette petite garce. Il rentra dans le restaurant, arme à la main, provoquant un mouvement de panique dans les clients. Il chopa le restaurateur par le col, et le plaqua contre le comptoir. Lui, par contre, se mit à pleurer comme un bébé, alors que les clients sortaient en hurlant, certains téléphones à la main.

"Si tu tiens à la vie, t'as plutôt intérêt à me dire où elle est. T'as une famille non ? Tu sais que Jim aime les enfants, non ? Où est-elle ?"

Il pointa du doigt les cuisines en tremblant. Sebastian se colla à son oreille.

"T'as plutôt intérêt à courir."

Il ne se fit pas dire deux fois. Sebastian entra doucement dans les cuisines. Une seule entrée, une seule sortie. Elle ne lui échapperait pas. Il lustra doucement son arme, puis tira dans une casserole, pour lui faire peur. Il attendit ensuite une réaction, afin de localiser sa position.

"Petite, t'as intérêt à sortir gentiment, ou c'est moi qui te force à le faire, et je peux t'assurer que ça va pas te plaire."

•••

La peur, voila se que je ressentais tout en entrant dans le restaurant, le patron me dit de me cacher dans les cuisines en sachant très bien que, comme d'habitude, je m'étais attirer des ennuis et qu'il me fallait faire profile bas. Tout en me cachant entre les batteries de cuisines et les fourneaux, dans le petit espace ou on passe du plan de travail à la cuisson, je repris mon souffle doucement me disant que j'étais tirer d'affaires, enfin pour le moment. Quelques minutes plus tard je me redressa pour voir tout le monde fuir et crier, je passais un léger coup d'oeil vers la salle du restaurant, regardant par le hublot des deux portes donnant vers la cuisine, voyant que Moran m'avait suivie jusqu'ici je me re cachais vite fait ou j'étais, mon coeur battant la chamade.

-Il ne mis pas longtemps avant d'entré dans la cuisine, je ne bougeais pas espèrent qu'il cherche dans le mauvais sens, mais je n'avais pas prévu le coup de feu dans une des casseroles juste au dessus de moi qui me fit sursauter. Un bruit se fit entendre a cause de ça, trahissant ma position et du coup il me menaçais de sortir de ma cachette pour éviter pire châtiment qu'il n'avais déjà prévu, je soufflais légèrement et me releva en me mettant face a lui les mains en l'air.

-"ça va ça va....j'ai compris.. j'ai manqué de jugeote sur se coup la...mais la police arrive tu sera cerner..".

-J'essayais néanmoins de m'en sortir sans trop de casse, en espèrent qu'il abandonne assez vite sa vengeance, mais en fait je savais que j'allais déguster avant qu'il ne parte...ça m'apprendra..

•••

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Sebby & Lizzy

Sebastian savait qu'il n'avait plus beaucoup de temps. Dans quelques minutes, la police débarquerait, et il serait pris au piège. Oh, ce n'était pas un problème pour lui, Jim ferait exploser le mur de sa cellule pour le faire sortir, et ça ferait encore plus le bazar dans Londres. Et il serait probablement furax pour le beau bordel qu'il avait accompli. Dès qu'il tira au plafond, il entendit un petit glapissement de terreur. Démasquée. La peur rendait les gens idiots, il savait ça maintenant. Ils étaient tous tellement stupides, les êtres humains, quand ils étaient sous pression. A croire qu'ils avaient un bouton "Hurler de terreur" au moindre petit bruit suspect. Sa proie apparut enfin dans son champ de vision, les mains en l'air, visiblement effrayée. Tant mieux, c'est ce qu'il voulait. Tirer à bout portant sur elle serait vu comme une exécution, si elle fuyait, ça passerait comme un règlement de compte, et il pourra disparaître incognito. Enfin... Plus ou moins.

"Ca va ça va....j'ai compris.. j'ai manqué de jugeote sur se coup la...mais la police arrive tu sera cerné..".

Sebastian sourit lentement, sadiquement.

"Tu crois que j'ai tué combien de personnes au juste ? Comment ça se fait que je suis encore vivant ? J'ai toujours échappé à la police, poulette, et ça, c'est un jeu d'enfant."

A ce moment précis, les sirènes de police commencèrent à retentir à l'extérieur. Ils ont été rapide aujourd'hui. Probablement à cause du gros poisson que représentait Sebastian. Le bras droit de Jim, ils allaient ENFIN pouvoir démanteler le réseau du criminel. Oui... Mais non. La dernière fois qu'il l'avait chopé, Sebastian avait parlé en allemand pendant tout l'interrogatoire, si bien qu'ils avaient dû le relâcher par manque de preuve. Que voulez-vous, on est doué, ou on l'est pas. Et avoir des origines allemandes était pas mal utile aussi. Comme quoi, l'éducation stricte de son cher vieux père avait fini par porter ses fruits. Il en vint même à se demander ce que devenait son petit frère, qu'il avait lâchement abandonné avec lui. Il allait probablement vouloir le tuer en le voyant. Bah, ça ne changerai pas.

Sebastian se dirigea d'un pas décidé vers sa victime, et lui attrapa violemment le bras, le retournant derrière son dos. Il positionna sa tête tout près de la sienne, et se mit à murmurer de son plus charmant accent germanique.

"Si toi bouger. Toi. Morte."

Il la força à avancer vers la sortie, où les voitures de polices éclairaient le restaurant désormais vide. Ah, ça allait être drôle. Scotland Yard allait vite déchanter en voyant son otage.

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•••

En général je n'avait jamais peur, mais là, autant dire que quand tu te retrouve avec un flingue braqué sur toi tout est différent, en fait c'est la deuxième fois aujourd'hui j'arrête pas le progrès. Il m'avoua que ce n'était vraiment pas la première fois qu'il était dans cette situation, je m'en doutais a vrai dire, ce n'était pas Sebastian Moran le Sniper criminel que tout le monde connaissais pour rien. Je me retrouvais maintenant dos contre lui, avec son flingue contre mon coté, il me dit dans un accent de ne pas bouger sinon j'étais morte, je tenta un léger humour alors.

-"Si je ne bouge pas on risque pas d'atteindre la sortie dear..."

-Heureusement il n'avait pas relever, on se dirigea tout deux vers la sortie ou Scotland Yard attendais Moran de pied ferme, une fois dehors toutes les armes étaient braquées sur nous, et le chef de brigade somma à Moran de me relâcher et se rendre. Je souriais légèrement ne sachant pas se qu'il allait faire, et en plus de cela j'allait surement passer dans le journal, du moins autrement que quand il y avait mon nom a coté de mes articles. je tourna la tête vers lui pour le regarder dans les yeux, je n'avait plus vraiment peur trouvant cette situation amusante et lui dit amusée.

-"Je sais pas pour toi mais moi je m'amuse...comment tu compte t'y prendre ? ".

•••

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Sebby & Lizzy

Moran ignora totalement la remarque de sa proie. De toute manière, il était certain que son arrogance ne cachait en réalité que de la peur. Une peur humaine et stupide que lui avait appris depuis longtemps à masquer. Avec l'armée. Avec Jim. Il n'y avait pas de place pour les sentiments avec eux. Le moindre sentiment était signe de faiblesse, la faiblesse signifiait la mort. Il n'était pas cruel de nature, on l'avait conditionné dans cette voie. Jim n'avait fait que terminer le travail que l'armée avait entamer avec lui. Le transformer en machine à tuer sans émotions, guidé uniquement par l'instinct.

Comme prévu, Scotland Yard était au rendez-vous, et en nombre. L'appât de la prime sans doute. Réussir à capturer le bras droit de Jim vivant, c'était un peu comme un gâteau d'anniversaire. Ou Noël. Sebastian serra la prise sur son arme, tout en poussant son otage vers la sortie. Les policiers, en nombre, pointaient leurs armes dans sa direction, le visage impassible.

-"Je sais pas pour toi mais moi je m'amuse...comment tu compte t'y prendre ? ".

Sebastian lui sourit, puis la tira violemment contre lui, en enfonçant un peu plus le pistolet contre sa tempe. Comment il allait s'en sortir ? Comme toujours, avec des mots, et un bon contact. Qu'est-ce qu'elle croyait cette petite journaliste de pacotille ? On ne prenait pas les agents de Moriarty sans en payer le prix. Le "chef" des policiers lui hurla encore une fois de la relâcher.

"Non. Parce que voilà ce qu'il va se passer. Si vous m'arrêtez, je m'assurerez personnellement que vous, et vos familles, dans leur entièreté seront exterminées. Vous croyez sincèrement me contenir dans une prison ? James Moriarty peut entrer partout. Il a des yeux partout."

Quelques policiers semblèrent perdre un peu leur confiance en eux, mais ils continuaient de le pointer, l'arme tremblant légèrement. Ses menaces semblaient prendre un peu d'effet. Il continua, confiant, tout en resserrant sa prise sur le bras de son otage.

"Vous allez me donner une voiture, et vingt minutes. Et cette petite garce s'en sortira vivant. N'essayez pas de me suivre, n'essayez pas de me retrouver. Ou je m'occuperai personnellement de vos gosses. J'en ferai une montagne, avec un pic en fer les traversant. Une magnifique vision, qu'est-ce que vous en dites ? Et puis... Vous ne voulez pas tacher votre réputation en ayant la mort d'un civil sur la conscience, non ?"

Le leader de l'équipe de flics sembla hésiter. Pendant un long moment, il resta silencieux, s'attirant des regards inquiets de ses collègues. Sebastian ne cligna même pas d'une paupière, concentré sur sa mission. Après un moment, il baissa lentement son arme. Sebastian sourit. De toute évidence, il avait gagné. Les autres policiers baissèrent leurs armes, suivant le mouvement. Le leader fit un geste à un de ses agents, qui ouvrit la portière d'une des voitures. Sebastian savait exactement où il allait aller. Il avança vers la voiture, son otage toujours près de lui, puis il rentra dans la voiture, poussa son otage à terre et démarra en trombe.

Il continua tout droit sur deux bons kilomètres, puis abandonna la voiture au milieu de la forêt pour gagner les égouts de Londres. Il marcha pendant bien une heure, personne n'irait le chercher ici, puis il remonta près de l'appartement de Jim. Il n'était pas suicidaire au point de rentrer chez lui tout de suite. Avec tous les snipers entourant les appartements du criminel, il était certain que personne n'oserait l'attaquer. Il ne restait plus qu'à expliquer calmement la situation à son cher patron sans qu'il n'explose la moitié du mobilier.

Ca, ça allait être plus compliqué.

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Tout allait de travers, déjà les flics ne faisaient rien, et en plus ils avaient l'air d'avoir peur de Moran non mais quel bande de naze ! Je souriais alors qu'on commença à aller vers la voiture que Moran avait demander, je ne savait rien faire d'autre que le suivre vu qu'il me tenait bien fermement, il me faisais mal mais ce n'était pas grave. Une fois devant la portière, je me fit pousser violament sur le sol, Moran lui démarra en trombe pour s'enfuir, c'est alors que les flics virent m'aider je me disais qu'il valait mieux tard que jamais, je fut prise en charge et ramener à mon hôtel. Je commença directement a écrire ce qui venait de se passé plus tôt, j'allait faire un carton surtout si c'était moi qui était la victime, il y aura au moins une bonne chose qui sortira de cette journée merdique et combien stressante.

•••

» Lizzy McKoning
» Guerre de positions ▬ Lizzy.
» Lizzy une fouineuse assez jolie.
» [Terminé] It's absolutly not what it looks like. [PV Jim]
» Informer d'un rp terminé.

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