Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez
 

 K. Alzeka Brel•Liens

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
MessageSujet: K. Alzeka Brel•Liens   K. Alzeka Brel•Liens EmptyLun 8 Juin - 21:13

Kea Alzeka Brel
ce qui est fait ne saurait être défait. On peut lutter afin de modeler l'avenir, jamais pour modifier le passé.
Je courais à perdre haleine. Je savais qu'il était en train de me suivre et que s'il mettait la main sur moi se serait fini de moi. Je ne voulais pas voir ma vie se stopper d'un coup. Il me reste tant de choses à voir, à découvrir et à faire. Je refuse d'accepter mon sort en ne faisant rien. Je ne peux pas accepter une telle horreur, je dois me battre pour ma vie, faire en sorte que ça n'arrive pas. Je me retournais, pour voir s'il me suivait toujours et vis que j'étais seule. J'en profitais donc pour me mettre contre le mur, assise, pour reprendre mon souffle et réfléchir à tout ce qui vient de se passer.
Si seulement je n’exerçais pas ce métier. Tout serait tellement plus simple, et je ne serais pas tout le temps en train de me demander si ce que je faisais était moral. Je suis parfaitement consciente que mon métier m'amène à commettre des meurtres, mais ça ne m'avais jamais vraiment posé des soucis, jusqu'à ce jour. J'avais pour ordre de mission d'infiltrer un groupe de personnes hautement dangereuses pour découvrir qui tirait les ficelles. C'est le genre de mission ou il n'y a que très peu de chances de survie si on se fait repérer. J'en étais pleinement consciente, et je ne comptais pas baisser les bras, je voulais revenir vivante. Cependant, c'est plus facile à dire qu'à faire. Au début, je gardais en tête que ce n'était qu'une mission et que je devais faire attention, tout en sachant qu'au fond de moi quelque chose était changeait. La passion domina alors la raison. Vous avez bien compris, j'ai succombé au charme d'un de ces hommes. Je ne voulais pas m'en apercevoir au début, et puis, j'ai dû me rendre à l'évidence. Je restais avec eux parce qu’il y avait une attirance entre nous.
Il m'est arrivé de mentir à mon patron, en expliquant que mon travail de recherche avançait, alors qu'il stagnait depuis un petit bout de temps. Je pensais avoir suffisamment discrète pour qu'il ne le découvre jamais. Je me trompais lourdement. Il avait fini ma découvrir ma véritable identité, mais ne me l'avait pas dit. Je suppose qu'au début, il regardait mes agissements, pour être sûr que je ne ferais rien qui risquerait de les faire aller derrière les barreaux.
Quand il comprit que j'allais m'en aller, il sut que c'était le moment de me faire taire. Il ne voulait pas risquer de finir sa vie dans une cellule de trois mètres carrés. Et bien que je représente quelque chose à ses yeux, il tenait plus à sa liberté plutôt qu'à moi. C'est de cette manière qu'on en est arrivés à faire le jeu du chat et de la souris. Sachant qu'il m'avait repérée, je m'étais éclipsée, jusqu'à ce qu'il se rende compte de mon absence et décide de me prendre en chasse. J'avais entendu des coups de feu, il était donc bien décidé à m'éliminer en me faisant portée disparue. Il ne tenait donc pas tant que ça à moi.
Je savais que je devais me défendre, faire en sorte de sauver ma vie, pourtant je ne pouvais pas pointer mon arme dans sa direction. Le simple fait d'imaginer ça me donnait des frissons. J'étais incapable de tirer une balle à bout portant. La passion me dominait totalement. J'étais sous son charme, et je ne pourrais pas m'en défaire. Le fait d'imaginer son corps sans vie, froid à mes pieds me révulsait et me faisait plus penser à la chaleur de ses bras, à son étreinte si réconfortante. Ou encore l'ardeur de nos étreintes le soir, la tendresse dans ses baisers. Tout ça, je ne pouvais pas l'oublier  Non, je ne pouvais décemment pas l'abattre froidement. Je ne suis pas comme lui, me résoudre à ça est trop dur.
Si seulement je pouvais revenir en arrière, faire en sorte de ne pas tomber sous son charme et d'être insensible. Malheureusement, ce n'est pas possible, et je dois continuer d'avancer, sachant très bien que je serais détruite.
© vieux frères.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
MessageSujet: Re: K. Alzeka Brel•Liens   K. Alzeka Brel•Liens EmptyLun 8 Juin - 21:13



Prénom Nom
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Prénom Nom
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.



Prénom Nom
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Prénom Nom
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
MessageSujet: Re: K. Alzeka Brel•Liens   K. Alzeka Brel•Liens EmptyLun 8 Juin - 21:13



Prénom Nom
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Prénom Nom
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.



Prénom Nom
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Prénom Nom
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept  à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
MessageSujet: Re: K. Alzeka Brel•Liens   K. Alzeka Brel•Liens EmptyLun 8 Juin - 21:14

A vous 8D
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: K. Alzeka Brel•Liens   K. Alzeka Brel•Liens Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

K. Alzeka Brel•Liens

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Ne me quitte pas Il faut oublier Tout peut s'oublier• Kea Alzeka Brel
» Fiche de liens
» Liens utiles pour le rp.
» Keep Smiling Buddy ! | Gram Liens & Rp
» It's a warzone in my head, still need an ennemy... ~ Laz' [Liens & RP]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sherlock RPG  :: Le registre :: Gestion du personnage :: Gestion liens & Rp-